- Sauerländer, op. cit. : « Les deux figures d'extrémité des ébrasements étaient, à gauche, un souverain couronné, et à droite, un pape. D'après la scène du soubassement de droite, il devait s'agir de Léon III. Le souverain devait donc être Charlemagne. »

- Erlande-Brandenburg, op. cit. : Les statues originales situées à l'extérieur des ébrasements représentaient « un roi qui n'a pas été identifié avec certitude ... Et peut-être saint Germain. Si cette dernière identification était assurée, il aurait fait pendant à un roi qui pourrait être Childebert, comme au portail Sainte-Anne... Quant au trumeau et aux piédroits [ou ébrasements], le programme en est connu par un certain nombre de textes, dont celui de l'abbé Lebeuf, et par des documents iconographiques. Le plus ancien est le fameux tableau du "Maître de Saint Gilles" où l'on voit les deux statues-colonnes extérieures du piédroit de droite. Les plus importants sont les gravures dont Le Gentil de La Galaisière illustra, à la fin du XVIIIe siècle, son mémoire, auxquelles il faut ajouter une gravure publiée par Dupuis. »

- Pinard, art. cit. : depuis la restauration de Viollet-le-Duc, « la représentation de l'empereur Constantin portant le sceptre et le globe impérial remplace très certainement une statue de roi identifiée à Philippe-Auguste ».

- Pour Iliana Kasarska, dans le contexte de ce portail, l'hypothèse parisienne est à favoriser.