Autun, Saint-Lazare - Porche nord, portail central, tympan, détail : la Vierge et un ange

Localisation

Ville

Département

Pays

Nom de l'édifice

Saint-Lazare

Type d'édifice

Emplacement de l'œuvre

Extérieur

Emplacement précis de l'œuvre

Façade nord

Localisation de l'œuvre

Porche, portail central : Portail du Jugement dernier

Localisation précise de l'oeuvre

Tympan, partie gauche, registre supérieur

Coordonnées géographiques

46.94523186736889, 4.2992766667764455

Auteur et donateur

Auteur de l'oeuvre, restaurateur

Description et Iconographie

Technique artistique

Sculpture

Cycle iconographique

Scène représentée

Iconographie/Bibliographie

Grivot Denis, La sculpture du XIIe siècle de la cathédrale d'Autun, Colmar-Ingersheim, SAEP, 1990
Maurice-Chabard Brigitte, L'église de pèlerinage, l'iconographie et la fonction liturgique de ses portails, in Révélation du grand portail d'Autun, dir. Cécile Ullmann, Lyon, Éd. Lieux dits, 2011 (ici p. 153).

Iconographie/Description

La Vierge, assise sur une estrade, préside (à côté de son fils) ; comme celle de son fils mais à un moindre degré, sa tête, grâce à son relief, sortait du tympan. Ses mains sont levées au niveau du buste, les paumes tournées vers l'extérieur en signe d'adoration.
À gauche, un ange sonne de la trompette.

Notes

Notes

« L'artiste n'a pas seulement sculpté le tympan du Jugement dernier, couronnement de sa carrière artistique, mais la presque totalité du décor de l'église. »
SOURCE : Grivot Denis et Zarnecki Georges, « Gislebertus sculpteur d'Autun », Paris Clairvaux-les-Lacs, Trianon, 1960.
Vestiges de polychromie :
- Vierge : auréole, couronne, carnation (cou, mains) ; rehauts des plis de la robe et du manteau, et du décor du trône
- Anges musiciens : trompettes ; rehauts des extrémités des plumes des ailes, des auréoles et des plis des robes.
Par ailleurs, des billes de verre ont été employées pour orner les yeux des personnages et des animaux, aussi bien dans le tympan que dans les archivoltes. Cette technique est également utilisée pour signaler les axes des supports des plateaux de la balance dans le Jugement dernier et dans le zodiaque. Dans son étude préalable, Christine Goubert a distingué les billes d'origine, irrégulières et bleu sombre, et celles datant de la restauration du XIXe siècle, calibrées, bleues pour les personnages et noires pour les animaux.
SOURCE : Dmochowska-Brasseur Agata, Le regard du restaurateur : des observations aux interventions, in « Révélation du grand portail d'Autun », dir. Cécile Ullmann, Lyon, Éd. Lieux dits, 2011, p. 109-121 (ici p. 116-117).

Création de la fiche

Auteur de la fiche

Date de création

2012-02-26

Privé, données de gestion

Type de document

Objet physique : Œuvre

Origine

SC_OEU_7984

Identifiant

357984

Code œuvre dans Access

NMreg2sup(g)

Langue

fr

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