Ézéchiel se tenant devant le Temple qu'il décrit la porte fermée (Éz XLIII, 1) : le prophète est assis sur un banc de pierre, tête nue et semblant parler devant une porte en plein cintre, flanquée sur ses contreforts de deux échauguettes et surmontée d'un étage supérieur formé d'une arcature en cintre brisé aux baies subdivisées chacune en deux, le tout couronné de créneaux ; les vantaux, qui sont fermés, sont garnis de pentures, d'une serrure, de verrous et d'un anneau [description de Durand].